La maternité n’est pas destinée à toutes les femmes. Certaines savent qu’elles n’auront pas d’enfant et elles se sentent programmées pour ne pas en avoir. Lorsqu’elles se retrouvent enceintes, elles risquent de ne pas dépasser le deuxième mois de grossesse et elles sont souvent tentées d’avorter, comme poussées par une force.
Les femmes que j’ai connues dans ces situations portaient toutes sur elles la même mémoire transgénérationnelle. Une ancêtre avait perdu un jeune bébé, le plus souvent une fille ou un fils aîné, et elle a transmis la mémoire du danger à toute la lignée. Cette mémoire est très forte et se transmet de génération en génération.
Cela peut expliquer certaines fausses-couches et naissances difficiles. Cela explique également l’inquiétude permanente des mamans pour leur enfant, même grand, ainsi que les relations conflictuelles entre le parent et l’enfant. Cela peut toucher également parfois un papa mais c’est moins fréquent.
Il y a certainement d’autres raisons, celle-ci, j’ai pu la vérifier de nombreuses fois.
On peut stopper cela en remontant jusqu’à l’ancêtre qui a vécu cette souffrance. Après avoir enlevé cette mémoire, vous verrez votre relation avec votre enfant s’apaiser et si vous n’avez pas d’enfant, il est possible que vous ayez envie de donner la vie, votre corps saura que le danger est écarté.
Les femmes que j’ai connues dans ces situations portaient toutes sur elles la même mémoire transgénérationnelle. Une ancêtre avait perdu un jeune bébé, le plus souvent une fille ou un fils aîné, et elle a transmis la mémoire du danger à toute la lignée. Cette mémoire est très forte et se transmet de génération en génération.
Cela peut expliquer certaines fausses-couches et naissances difficiles. Cela explique également l’inquiétude permanente des mamans pour leur enfant, même grand, ainsi que les relations conflictuelles entre le parent et l’enfant. Cela peut toucher également parfois un papa mais c’est moins fréquent.
Il y a certainement d’autres raisons, celle-ci, j’ai pu la vérifier de nombreuses fois.
On peut stopper cela en remontant jusqu’à l’ancêtre qui a vécu cette souffrance. Après avoir enlevé cette mémoire, vous verrez votre relation avec votre enfant s’apaiser et si vous n’avez pas d’enfant, il est possible que vous ayez envie de donner la vie, votre corps saura que le danger est écarté.
Vous pouvez me questionner par rapport à votre histoire.
Françoise Chevalier contact 06 62 93 83 30
Découvrez mon site