Accompagnement personnel (Françoise CHEVALIER) – Il est vraiment souhaitable de s’alléger des mémoires en provenance de nos aïeux.
Nous savons que nous sommes conditionnés par notre éducation, notre instruction et notre cadre de vie. On peut choisir de s’en libérer après avoir identifié ce qui nous dérange vraiment.
Les mémoires transmises par nos ancêtres sont beaucoup plus difficiles à déceler. Elles sont la clé pour comprendre des comportements inexpliqués, des situations injustes.
Par exemple, lorsqu’on porte sur soi une mémoire d’abandon, on va rencontrer quelqu’un qui nous fera vivre l’abandon.
Ou bien, on vivra des démêlées avec la justice, sans avoir fait quelque chose de répréhensible, et on va découvrir une injustice vécue par un ancêtre et enregistrée dans la mémoire des descendants.
De même, je rencontre très souvent des mamans qui ne peuvent donner leur potentiel d’amour à l’un de leurs enfants, et quand on remonte dans la famille, on découvre qu’un enfant du même sexe et à la même place dans la fratrie est décédé peu après sa naissance. Une mémoire protectrice se met en place et protège la maman par peur de perdre à nouveau son prochain enfant. Donc elle s’y attache moins et cela se transmet de mère en fille.
A l’identique, les personnes souffrant de grandes blessures d’amour, de trahison ou de rejet portent sur elles une mémoire ancestrale de même nature.
Pour réparer et ôter ces mémoires, je procède très simplement. En premier, j’identifie le mal-être, puis je fais venir sur la personne une lumière de guérison. Je fais remonter cette lumière sur les ancêtres jusqu’à l’origine du problème.
Je ne cherche pas spécialement à faire revivre l’histoire en cause. C’est possible, mais peu souhaitable, me semble-t-il, afin de ne pas créer une nouvelle mémoire encombrante.
Immédiatement, la personne se sent plus légère, plus libre, mieux dans son corps et moins dans le questionnement. Tout ce qui est ainsi travaillé ne refait plus surface, c’est parti.
Venez découvrir mon site
Nous savons que nous sommes conditionnés par notre éducation, notre instruction et notre cadre de vie. On peut choisir de s’en libérer après avoir identifié ce qui nous dérange vraiment.
Les mémoires transmises par nos ancêtres sont beaucoup plus difficiles à déceler. Elles sont la clé pour comprendre des comportements inexpliqués, des situations injustes.
Par exemple, lorsqu’on porte sur soi une mémoire d’abandon, on va rencontrer quelqu’un qui nous fera vivre l’abandon.
Ou bien, on vivra des démêlées avec la justice, sans avoir fait quelque chose de répréhensible, et on va découvrir une injustice vécue par un ancêtre et enregistrée dans la mémoire des descendants.
De même, je rencontre très souvent des mamans qui ne peuvent donner leur potentiel d’amour à l’un de leurs enfants, et quand on remonte dans la famille, on découvre qu’un enfant du même sexe et à la même place dans la fratrie est décédé peu après sa naissance. Une mémoire protectrice se met en place et protège la maman par peur de perdre à nouveau son prochain enfant. Donc elle s’y attache moins et cela se transmet de mère en fille.
A l’identique, les personnes souffrant de grandes blessures d’amour, de trahison ou de rejet portent sur elles une mémoire ancestrale de même nature.
Pour réparer et ôter ces mémoires, je procède très simplement. En premier, j’identifie le mal-être, puis je fais venir sur la personne une lumière de guérison. Je fais remonter cette lumière sur les ancêtres jusqu’à l’origine du problème.
Je ne cherche pas spécialement à faire revivre l’histoire en cause. C’est possible, mais peu souhaitable, me semble-t-il, afin de ne pas créer une nouvelle mémoire encombrante.
Immédiatement, la personne se sent plus légère, plus libre, mieux dans son corps et moins dans le questionnement. Tout ce qui est ainsi travaillé ne refait plus surface, c’est parti.
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